Qui sommes-nous ?
Un peu d’histoire : des années 1900 à aujourd’hui
L’aventure de la Ferme de P’tit Foué c’est avant tout une histoire de famille !
Les deux frères GRAND avaient chacun une exploitation laitière :
- L’oncle de Jean- François, Arsène GRAND, et son épouse Lucienne, à Jouvernex, avec une vingtaine de vaches,
- Le père de Jean-François, Raymond GRAND, et son épouse Amélie, aux Camboles, avec une quinzaine de vaches.
Ils travaillaient cependant ensemble, surtout pour les travaux des champs.
1900
Exploitation Agricole
Arsène Grand
Exploitation Agricole
Raymond Grand
1972
Fusion des 2 exploitations agricoles qui deviennent l’exploitation
« Grand Frère »
1989
Reprise de l’exploitation par Lucienne et Jean-François Grand
« Le P’tit Foué »
1993
Création du GAEC La Puya
Avec Daniel Brouze
2006
Reprise de l’exploitation de Sorcy et intégration au sein du GAEC La Puya de Laure Grand
2011
Mise en place de la vente de caissette de viande en direct par Laure et Jean-François Grand
2013
Début de fabrication des yaourts à la ferme
Obtention de l’agrément
2019
Label Bio
Obtention du label AB de tous les produits
Comment mieux valoriser notre travail ? Comment renouer avec les personnes ? Comment redonner le vrai goût des choses aux gens ?
En 2012, avec le soutien de la Chambre d’Agriculture notamment, Laure et P’tit Foué décident de passer le cap.
En 2013, le projet prend forme grâce au Conseil Général, au Conseil Régional (et l’Europe) et au Crédit Mutuel. Laure retourne à l’école : une semaine de formation à l’E.N.I.L.V. (Ecole Nationale d’Industrie Laitière et Viande) à La Roche-sur-Foron en janvier, pour apprendre les bases de la transformation : du lait aux yaourts, faisselles, tommes blanches, fromages frais… En octobre, 4 jours de formation à domicile permettent de régler les détails et de rédiger le dossier d’agrément communautaire afin de pouvoir fournir restaurants et collectivités.
A l’automne 2013, la fabrication et la vente de produits ultra frais se font désormais à
LA FERME DE P’TIT FOUE
Toujours dans l’optique de satisfaire le client, la gamme proposée tend à s’élargir avec des produits principalement fermiers, bio et locaux…
En mai 2017, toujours dans l’optique de se rapprocher du « vrai », nous franchissons le pas en s’orientant vers des céréales nécessitant moins d’eau, cultivables sans engrais chimiques ni traitement.*
Les vaches mangent désormais des céréales ou des aliments complets bio.
Cette transition portera ses fruits le 1er janvier 2019.